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02.98.30.83.85
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| Auteurs | DVORAK, ANTONIN (Rédacteur) Ticciati, Robin (Rédacteur) Bamberger Symphoniker (Rédacteur) |
| Edition | Tudor Recording : Zürich , 2014 |
| Matériel Accompagnement | 1 livret |
| ISBN | 0812973011941 |
| Prix | 19,48 E |
| Langue d'édition | français |
| Sujets | Symphonie, poème symphonique |
| Nombre de réservation(s) actuelle(s) : 0 | |
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Contient :
Symphony Nʻ9 "From the new world", op. 95, mi mineur
American suite, op. 98b, la majeur
Résumé : Comme Beethoven, Bruckner et Mahler, Dvorak couronna son oeuvre symphonique par une Neuvième. La symphonie connut un succès mondial, et reste une des symphonies les plus jouées. S'aventurant en terrain nouveau, Dvorak prouvait une fois pour toutes qu'il était bien plus qu'un simple musicien de Bohème. Il ouvrit les oreilles des musiciens et des auditeurs au folklore des Amérindiens et au trésor mélodique des Noirs. Les thèmes de l'oeuvre sont des créations originales de Dvorak, même si leurs particularités rappellent la musique amérindienne. Le son caractéristique, à la fois grave et ardent des Bamberger Symphoniker est fait pour ce répertoire. Un coup de chance que Robin Ticciati soit particulièrement sensible à ce langage à la fois lyrique et impulsif. Son interprétation a une énergie irrésistible, sans jamais oublier la mélancolie toujours sous-jacente chez Dvorak.
Notes : Noté 4/5 dans Classica No.177 p.92 du 03/11/2015
GAM
Symphony Nʻ9 "From the new world", op. 95, mi mineur
American suite, op. 98b, la majeur
Résumé : Comme Beethoven, Bruckner et Mahler, Dvorak couronna son oeuvre symphonique par une Neuvième. La symphonie connut un succès mondial, et reste une des symphonies les plus jouées. S'aventurant en terrain nouveau, Dvorak prouvait une fois pour toutes qu'il était bien plus qu'un simple musicien de Bohème. Il ouvrit les oreilles des musiciens et des auditeurs au folklore des Amérindiens et au trésor mélodique des Noirs. Les thèmes de l'oeuvre sont des créations originales de Dvorak, même si leurs particularités rappellent la musique amérindienne. Le son caractéristique, à la fois grave et ardent des Bamberger Symphoniker est fait pour ce répertoire. Un coup de chance que Robin Ticciati soit particulièrement sensible à ce langage à la fois lyrique et impulsif. Son interprétation a une énergie irrésistible, sans jamais oublier la mélancolie toujours sous-jacente chez Dvorak.
Notes : Noté 4/5 dans Classica No.177 p.92 du 03/11/2015
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