Auteur : P
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P est la 16e lettre et la 12e consonne de l'alphabet latin.

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(minuscule : ), appelé P point souscrit, est un graphème utilisé dans les orthographes Riggs ou Williamson du sioux (dakota) ou lakota, et dans certaines romanisations ALA-LC ou la romanisation de l’alphabet géorgien. Il s'agit de la lettre P diacritée d'un point souscrit.

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(minuscule : ), appelé P accent circonflexe, est un graphème utilisé dans l’écriture du khinalug. Il s’agit de la lettre P diacritée d'un accent circonflexe.

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(minuscule : ), ou P accent aigu, est une lettre] utilisée dans l’alphabet washo, l’alphabet chimane de Wayne Gill, ou dans la romanisation ISO 9 de l’abkhaze. Elle a aussi été utilisée dans l’écriture du bas-sorabe. Il s'agit de la lettre P diacritée d'un accent aigu.

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(minuscule : ), appelé P virgule réfléchie suscrite, est une lettre latine qui était utilisée dans l’écriture de l’éwé. Il s’agit de la lettre P diacritée d’une virgule réfléchie suscrite.

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(minuscule : ), appelée P caron ou P hatchek, est une lettre additionnelle latine utilisée dans l’écriture du laze. Il s’agit de la lettre P diacritée d'un caron.

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(minuscule : ), appelé P tilde, est un graphème utilisé dans les alphabets de l’anejom, de l’éfaté du nord, de l’éfaté du sud, du lewo, du maskelynes, du namakura, de l’uripiv-wala-rano-atchin, et du yanesha. Il s'agit de la lettre P diacritée d'un tilde.

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(minuscule : ), appelé P tréma, est un graphème utilisé dans l’écriture de l’araki et du mavea. Elle est aussi utilisé en la romanisation de l’écriture manichéenne. Il s’agit de la lettre P diacritée d'un tréma.

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( en minuscule), appelé P virgule sucrite à droite, est une lettre latine utilisée dans les romanisations ISO 9985 et DIN 32706 de l’alphabet arménien et dans les romanisations ISO 9984 et DIN 32707 de l’alphabet géorgien.

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(minuscule : ), appelé P cédille, est une lettre additionnelle utilisée dans l’écriture du nenets dans les années 1930. Elle est formée d'un P diacrité par une cédille.

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(minuscule : ), appelé P macron, est un graphème utilisé dans l’écriture de l’assiniboine et dans certaines romanisations ALA-LC ou autres, et comme abréviation latine dans l’écriture manuscrite. Il s'agit de la lettre P diacritée d'un macron.

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(minuscule : ), appelé P macron souscrit, est un graphème utilisé dans l’écriture du nobonob, de l’uduk, et dans la transcription des langues sémitiques ou comme abréviation latine dans l’écriture manuscrite. Il s’agit de la lettre P diacritée d’un macron souscrit.

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(minuscule : ), appelé P virgule suscrite, est une lettre latine utilisée dans l’écriture du comox, du haisla, du heiltsuk, du kutenai, du kwak'wala, du nitinaht, du nuuchahnulth ehattesaht, du shuswap, du thompson, et de l’umatilla. Il s’agit de la lettre P diacritée d’une virgule suscrite.

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(minuscule : ), appelé P tréma souscrit, est un graphème utilisé dans la romanisation de l’alphabet mandéen. Elle est composée de la lettre P diacritée d’un tréma souscrit.

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(minuscule : ), appelé P point sucrit ou P point en chef, était un graphème utilisé dans l’alphabet irlandais, dans certaines romanisations KNAB. Il s'agit de la lettre P diacritée d'un point suscrit.

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(minuscule : ), appelé P virgule souscrite, est un graphème utilisé dans l’écriture du lutsi et qui était utilisé dans l'écriture du latgalien de Sibérie et du nénètse. Il s'agit de la lettre P diacritée d'une virgule souscrite.